Habitat : les démarches

Publié le – Mis à jour le

Opération Programmée pour l’Amélioration de l’Habitat (OPAH) "Coeur de Ville"

Recensement

Le recensement de la population a pour objectifs le dénombrement des logements et de la population résidant en France et la connaissance de leurs principales caractéristiques : sexe, âge, activité, professions exercées, caractéristiques des ménages, taille et type de logement, modes de transport, déplacements quotidiens. Pour une commune ces statistiques servent à prévoir les besoins en équipements collectifs comme les écoles, les maisons de retraites ou les hôpitaux. Elles servent surtout à établir la contribution de l'État au budget de la commune pour financer ces investissements.

Les communes de 10 000 habitants ou plus comme Cuers font désormais l'objet d'une enquête annuelle (de janvier à février) auprès d'un échantillon de 8 % de la population, dispersé sur l'ensemble de leur territoire. Au bout de 5 ans, tout le territoire de ces communes est pris en compte et les résultats du recensement sont calculés à partir de l'échantillon de 40 % de leur population ainsi constitué.

L'Adressage et certificat de numérotage

L’adressage précise les numéros affectés aux différents accès sur la ou les voies bordant la ou les parcelles. La demande d’attribution ou de confirmation d’une adresse est nécessaire pour une construction ou une réhabilitation sur une ou plusieurs parcelles, en particulier si les accès sont modifiés. Ce document permet de localiser votre parcelle afin d’améliorer l’intervention des services d’urgence (les pompiers, le SAMU, le SMUR, la police, la gendarmerie …..) et l'efficacité des services publics tels que la Poste, les impôts, la CAF ….. , les réseaux tels que l’ouverture d’un compteur (eau ou électricité), la fibre, et les autres services tels que les livraisons et autres.

Il permet aussi de mettre à jour la Basse d'Adresse Nationale (BAN) produite par l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) (cf l’article L. 321-4 du même code par la loi n° 2016-1321 du 7 octobre 2016 pour une République numérique). C'est la seule base de données d’adresses officiellement reconnue par l’administration. Elle est utilisée par de nombreux services numériques publics et privés.

Comment obtenir un certificat de numérotage ?

  1. Téléchargez le formulaire
  2. Remplissez le (informatiquement ou imprimez le et remplissez le à la main) et adressez le accompagné des documents demandés :
  • soit par courrier postal : Mairie de Cuers - Service "Habitat"– Place Général Magnan – BP 37 – 83390 Cuers
  • Soit en le déposant à l’accueil ou dans la boite aux lettres de l’Hôtel de Ville sous pli cacheté à l'attention du service "Habitat"
  • soit en ligne.

Déclaration de la présence de termites ou insectes xylophages dans un logement ou un immeuble :

Incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination

Vous êtes victime ou témoin d'un écrit ou d'un discours qui incite d'autres personnes à avoir une réaction haineuse ou violente ? Il s'agit d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination. Si ces propos ou contenus sont tenus ou exposés en public, l'incitation est publique. S'ils ont lieu dans un espace restreint ou privé, l'incitation est non publique. En tant que victime de cette infraction, vous pouvez porter plainte. Nous vous présentons les informations à connaître.

Injure - Diffamation - Incitation à la haine

      L'incitation publique à la haine, à la violence ou à la discrimination est un délit.

      L'auteur des faits, par un écrit, une image, une vidéo, etc. pousse certaines personnes à avoir une réaction malveillante et haineuse à l’encontre d’autres individus ou groupes d'individus en raison de caractéristiques telles que :

      • La nationalité

      • La religion

      • L'ethnie

      • Le sexe

      • L'orientation sexuelle

      • Le handicap

      L'incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination est constituée dès lors que l'auteur utilise l'un des moyens suivants :

      • Discours

      • Menaces

      • Écrits, gravures, peintures

      • Images, affiches

      • Vidéos

      L'incitation est publique lorsque les propos ou contenus peuvent être vus, lus ou entendus par le public (par exemple, sur un réseau social).

      Attention

      L'incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination ne doit pas être confondue avec l'injure ou la diffamation.

      Par exemple, si une personne insulte un adversaire politique de « peste », il s'agit d'une injure. Si elle déclare que son adversaire est un « repris de justice », il s'agit d'une diffamation. Si elle fait un portrait très négatif de la religion de son adversaire, il s'agit d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination.

      Toute personne, victime ou témoin d'une publication sur internet incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination peut faire un signalement à la police ou à la gendarmerie depuis  PHAROS . Cette plateforme est ouverte aux majeurs comme aux mineurs.

    • Signaler un contenu internet illégal (internet-signalement : Pharos)
    • À savoir

       PHAROS  ne traite pas les cas urgents. En cas d'urgence (exemple : infraction en cours), vous pouvez contacter la police ou la gendarmerie au 17, le Samu au 15 ou les pompiers au 18.

      Si les équipes de PHAROS estiment que le contenu est illicite, le signalement est transmis aux autorités compétentes (exemple : services d'enquête de la Police nationale ou de la Gendarmerie nationale). Une enquête peut être menée sous l'autorité du procureur de la République.

      Par ailleurs, les policiers et gendarmes peuvent contacter l'hébergeur du site ou de la plateforme concerné et lui demander de supprimer le contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination.

      Si vous êtes victime ou témoin d'un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination, vous pouvez faire une demande de retrait. Pour cela, vous devez faire un signalement :

      • À l'hébergeur, pour tout contenu publié sur internet

      • Au directeur de publication, s'il s'agit d'un message adressé par un internaute à unservice de communication en ligne (par exemple, un commentaire laissé sous une vidéo publiée sur un réseau social)

      Les hébergeurs doivent mettre en place des mécanismes de signalement permettant de les alerter en cas de publication d'un contenu illégal sur un site internet ou une plateforme en ligne (exemple : réseaux sociaux).

      Ce dispositif doit être visible et accessible à tous. Il permet de renseigner :

      • Vos coordonnées (nom, prénom, adresse mail, etc.)

      • Les raisons pour lesquelles vous estimez que le contenu incite à la haine, à la violence ou à la discrimination

      • La localisation précise du contenu signalé (par exemple, l'adresse URL).

      À la suite de ce signalement, l'hébergeur est obligé de retirer le contenu illicite ou d'en bloquer l'accès. S'il n'agit pas très vite, il encourt des sanctions pénales.

      À noter

      Certains hébergeurs disposent de mécanismes de signalement qui leur sont propres. Il en est ainsi pour les réseaux sociaux tels que  X (anciennement Twitter),  Facebook  ,  Instagram  , Snapchat  , TikTok, .

        Si vous êtes victime ou témoin d'un commentaire laissé sur internet qui incite à la haine, à la violence ou à la discrimination, vous pouvez le signaler au directeur de publication du site.

        La demande doit être adressée au directeur de publication du service de communication en ligne par lettre recommandée avec accusé de réception. Elle doit mentionner :

        • Le contenu que vous dénoncez (exemple : vous pouvez faire un copier/coller du texte concerné)

        • L'adresse internet (URL) du service de communication en ligne sur lequel la publication a été faite.

        Dès qu'il a connaissance du caractère illicite du commentaire, le directeur de publication doit immédiatement le faire retirer. S'il ne le fait pas, il risque des sanctions pénales.

          Si vous êtes victime d'une publication incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination, vous pouvez agir en justice contre son auteur.

          Si vous avez demandé à l'hébergeur d'un site internet ou d'une plateforme en ligne de retirer un tel contenu et qu'il ne l'a pas fait, vous pouvez également engager sa responsabilité pénale.

          Si vous avez signalé un commentaire en ligne incitant à la haine, à la violence et à la discrimination et qu'il n'a pas été supprimé, vous pouvez agir en justice contre le directeur de publication.

          Si une publication incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination vous porte directement atteinte, vous pouvez déposer plainte contre l'auteur de ce contenu.

          Le délai pour porter plainte est de 3 mois à compter de la commission des faits.

          Votre plainte doit être déposée auprès d'un commissariat de police, d'une brigade de gendarmerie ou en écrivant au procureur de la République.

          Où s'adresser ?

           Commissariat 

          Où s'adresser ?

           Gendarmerie 

          Il vous est possible de demander l'assistance d'un avocat. Ce professionnel vous accompagnera dès le dépôt de la plainte jusqu'à l'éventuel jugement de l'auteur de cette infraction.

          Où s'adresser ?

           Avocat 

          Votre plainte entraîne une enquête de police qui peut aboutir au jugement de l'auteur des faits par le  tribunal correctionnel .

          Si vous vous êtes constitué partie civile, vous pouvez également demander des dommages et intérêts à l'auteur de l'infraction.

          À noter

          Une association déclarée depuis plus de 5 ans et qui se propose de combattre le racisme ou d'assister les victimes de discrimination fondée sur leur origine nationale, ethnique, raciale ou religieuse peut également se constituer partie civile à votre place, avec votre accord.

            Si l'hébergeur internet n'a pas retiré un contenu illicite qui vous porte directement atteinte, vous pouvez déposer plainte contre lui.

            Le délai pour porter plainte est de 3 mois à compter de la commission des faits.

            Votre plainte doit être déposée auprès d'un commissariat de police, d'une brigade de gendarmerie ou en écrivant au procureur de la République.

            Où s'adresser ?

             Commissariat 

            Où s'adresser ?

             Gendarmerie 

            Il vous est possible de demander l'assistance d'un avocat. Ce professionnel vous accompagnera dès le dépôt de la plainte jusqu'à l'éventuel jugement de l'hébergeur.

            Où s'adresser ?

             Avocat 

            Votre plainte entraîne une enquête de police qui peut aboutir à la condamnation de l'hébergeur par le tribunal correctionnel .

            Si vous vous êtes constitué partie civile, vous pouvez également demander des dommages et intérêts à l'hébergeur.

            À noter

            Une association déclarée depuis plus de 5 ans et qui se propose de combattre le racisme ou d'assister les victimes de discrimination fondée sur leur origine nationale, ethnique, raciale ou religieuse peut également se constituer partie civile à votre place, avec votre accord.

                Si le directeur de publication n'a pas retiré un commentaire illicite qui vous porte directement atteinte, vous pouvez déposer plainte contre lui.

                Le délai pour porter plainte est de 3 mois à compter de la commission des faits.

                Votre plainte doit être déposée auprès d'un commissariat de police, d'une brigade de gendarmerie ou en écrivant au procureur de la République.

                Où s'adresser ?

                 Commissariat 

                Où s'adresser ?

                 Gendarmerie 

                Il vous est possible de demander l'assistance d'un avocat. Ce professionnel vous accompagnera dès le dépôt de la plainte jusqu'à l'éventuel jugement du directeur de publication.

                Où s'adresser ?

                 Avocat 

                Votre plainte entraîne une enquête de police qui peut aboutir à la condamnation du directeur de publication par le  tribunal correctionnel .

                Si la responsabilité pénale du directeur de publication est engagée, l'auteur du commentaire peut également être condamné en tant que complice.

                Si vous vous êtes constitué partie civile, vous pouvez également demander des dommages et intérêts au directeur de publication et à l'auteur de l'incitation.

                À noter

                Une association déclarée depuis plus de 5 ans et qui se propose de combattre le racisme ou d'assister les victimes de discrimination fondée sur leur origine nationale, ethnique, raciale ou religieuse peut également se constituer partie civile à votre place, avec votre accord.

                  L'auteur d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination peut être jugé et condamné à une sanction pénale par le  tribunal correctionnel . Il en est de même de l'hébergeur ou du directeur de publication qui ne respectent pas leurs obligations.

                  L'auteur d'une provocation à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt des sanctions pénales qui diffèrent selon son statut : particulier, personne dépositaire de l'autorité publique (exemple : un policier) ou chargée d'une mission de service public (exemple : un chauffeur de bus).

                  Peine principale

                  L'auteur d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :

                  • 1 an de prison

                  • 45 000 € d'amende.

                  À noter

                  S'il est prouvé qu'un crime ou un délit a eu lieu en raison d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination, l'auteur de la provocation est considéré comme le complice du criminel ou du délinquant. Ainsi, l'incitateur et l'auteur du crime ou du délit risquent les mêmes peines.

                  Peines complémentaires

                  L'auteur des faits peut également être condamné à des peines complémentaires tel que le bannissement des plateformes en ligne.

                  Cette sanction consiste à le bannir de la plateforme en ligne à partir de laquelle il a commis l'infraction. Dès qu'ils sont informés de cette condamnation, les fournisseurs d'accès au service en ligne concerné doivent bloquer les comptes de l'auteur des faits et veiller à ce qu'il ne puisse pas en créer de nouveaux.

                  Ce  bannissement  est valable pour une durée maximale de 6 mois. Cette période peut être portée à un an en cas de récidive.

                    Peines principales

                    L'auteur d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :

                    • 3 ans de prison

                    • 75 000 € d'amende.

                    À noter

                    S'il est prouvé qu'un crime ou un délit a eu lieu en raison d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination, l'auteur de la provocation est considéré comme le complice du criminel ou du délinquant. Ainsi, l'incitateur et l'auteur du crime ou du délit risquent les mêmes peines.

                    Peines complémentaires

                    L'auteur des faits peut également être condamné à des peines complémentaires tel que le bannissement des plateformes en ligne.

                    Cette sanction consiste à le bannir de la plateforme en ligne à partir de laquelle il a commis l'infraction. Dès qu'ils sont informés de cette condamnation, les fournisseurs d'accès au service en ligne concerné doivent bloquer les comptes de l'auteur des faits et veiller à ce qu'il ne puisse pas en créer de nouveaux.

                    Ce  bannissement  est valable pour une durée maximale de 6 mois. Cette période peut être portée à un an en cas de récidive.

                        Le directeur de publication qui ne retire pas immédiatement un contenu illicite ou qui n'en bloque pas l'accès encourt les mêmes sanctions que l'auteur du contenu. On dit qu'il est poursuivi comme auteur principal .

                        Par conséquent, les peines diffèrent en fonction du statut de l'auteur de la publication.

                        Le directeur de publication qui s'abstient de retirer ou de bloquer l'accès à un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :

                        • 1 an de prison

                        • 45 000 € d'amende.

                          Le directeur de publication qui s'abstient de retirer ou de bloquer l'accès à un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :

                          • 3 ans de prison

                          • 75 000 € d'amende.

                              Les peines encourues par l'hébergeur ne sont pas les mêmes selon qu'il s'agit d'une personne physique ou d'une personne morale.

                              L'hébergeur qui s'abstient de retirer ou de bloquer l'accès à un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :

                              • 1 an de prison

                              • 250 000 € d'amende.

                                L'hébergeur qui s'abstient de retirer ou de bloquer l'accès à un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine d'amende qui ne peut pas dépasser 6 %  de son chiffre d’affaires mondial annuel au cours de l’année précédente.

                                    L'incitation non publique à la haine, à la violence ou à la discrimination est une contravention.

                                    L'auteur des faits, par un écrit, une image, une vidéo, etc. pousse certaines personnes à avoir une réaction malveillante et haineuse à l’encontre d’autres individus ou groupes d'individus en raison de caractéristiques telles que :

                                    • La nationalité

                                    • La religion

                                    • L'ethnie

                                    • Le sexe

                                    • L'orientation sexuelle

                                    • Le handicap

                                    L'incitation à la haine est constituée dès lors que l'auteur utilise l'un des moyens suivants :

                                    • Discours

                                    • Menaces

                                    • Ecrits, gravures, peintures

                                    • Images, affiches

                                    • Vidéos

                                    L'incitation est non publique lorsqu'elle a lieu en comité restreint (exemple : lors d'une réunion de famille ou professionnelle).

                                    Attention

                                    L'incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination ne doit pas être confondue avec l'injure ou la diffamation.

                                    Par exemple, au cours d'une réunion professionnelle, un salarié insulte l'un de ses collègues de « peste ». Dans ce cas, il s'agit d'une injure. Si le salarié prétend que son collègue est un ancien « repris de justice », il s'agit d'une diffamation. Enfin, si le salarié fait un portrait très négatif de la religion de son collègue, il s'agit d'incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination.

                                    En tant que victime d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination, vous pouvez déposer plainte contre l'auteur des faits. Il est nécessaire que les propos, les écrits, l'image, etc. vous portent directement atteinte.

                                    Le délai pour porter plainte est de 3 mois à compter de la commission des faits.

                                    Votre plainte doit être déposée auprès d'un commissariat de police, d'une brigade de gendarmerie ou en écrivant au procureur de la République.

                                    Où s'adresser ?

                                     Commissariat 

                                    Où s'adresser ?

                                     Gendarmerie 

                                    Il vous est possible de demander l'assistance d'un avocat. Ce professionnel vous accompagnera dès le dépôt de la plainte jusqu'à l'éventuel jugement de l'auteur de l'infraction.

                                    Où s'adresser ?

                                     Avocat 

                                    Votre plainte entraîne une enquête de police qui peut aboutir à la condamnation de l'auteur des faits.

                                    Si vous vous êtes constitué partie civile, vous pouvez demander des dommages et intérêts.

                                    À noter

                                    Une association déclarée depuis plus de 5 ans et qui se propose de combattre le racisme ou d'assister les victimes de discrimination fondée sur leur origine nationale, ethnique, raciale ou religieuse peut également se constituer partie civile à votre place, avec votre accord.

                                    L'auteur d'une provocation à la haine, à la violence ou à la discrimination peut être jugé et condamné à des sanctions pénales par le  tribunal de police .

                                    Il encourt une amende de 1500 € . Elle peut être portée à 3000 € en cas de récidive.

                                  • Pour être informé en tant que victime d'une infraction :
                                    116 006 - Numéro d'aide aux victimes

                                    Ce service permet aux victimes d'infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d'être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

                                    En France métropolitaine

                                    116 006

                                    Appel gratuit

                                    Service joignable tous les jours de l'année, de 9h à 19h.

                                    Hors métropole (ou depuis l'étranger)

                                    + 33 (0)1 80 52 33 76

                                    Appel gratuit

                                    Service joignable tous les jours de l'année, de 9h à 19h.

                                    Pour les personnes malentendantes

                                    Par mail :  victimes@116006.fr 

                                  • Pour obtenir de l'aide face aux violences faites sur internet :
                                    Numéro national pour les victimes de violences numériques

                                    Pour poser vos questions de façon anonyme et confidentielle sur le harcèlement en ligne (cyber-harcèlement).

                                    Par téléphone

                                    3018

                                    Ouvert 7 jours sur 7, de 9h à 23H

                                    Appel gratuit et anonyme

                                    Site internet

                                     e-enfance.org 

                                  • Pour être accompagné en cas de racisme, d'antisémitisme ou de discrimination raciale :
                                     SOS Racisme 

                                  Incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination

                                  Vous êtes victime ou témoin d'un écrit ou d'un discours qui incite d'autres personnes à avoir une réaction haineuse ou violente ? Il s'agit d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination. Si ces propos ou contenus sont tenus ou exposés en public, l'incitation est publique. S'ils ont lieu dans un espace restreint ou privé, l'incitation est non publique. En tant que victime de cette infraction, vous pouvez porter plainte. Nous vous présentons les informations à connaître.

                                  Injure - Diffamation - Incitation à la haine

                                      L'incitation publique à la haine, à la violence ou à la discrimination est un délit.

                                      L'auteur des faits, par un écrit, une image, une vidéo, etc. pousse certaines personnes à avoir une réaction malveillante et haineuse à l’encontre d’autres individus ou groupes d'individus en raison de caractéristiques telles que :

                                      • La nationalité

                                      • La religion

                                      • L'ethnie

                                      • Le sexe

                                      • L'orientation sexuelle

                                      • Le handicap

                                      L'incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination est constituée dès lors que l'auteur utilise l'un des moyens suivants :

                                      • Discours

                                      • Menaces

                                      • Écrits, gravures, peintures

                                      • Images, affiches

                                      • Vidéos

                                      L'incitation est publique lorsque les propos ou contenus peuvent être vus, lus ou entendus par le public (par exemple, sur un réseau social).

                                      Attention

                                      L'incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination ne doit pas être confondue avec l'injure ou la diffamation.

                                      Par exemple, si une personne insulte un adversaire politique de « peste », il s'agit d'une injure. Si elle déclare que son adversaire est un « repris de justice », il s'agit d'une diffamation. Si elle fait un portrait très négatif de la religion de son adversaire, il s'agit d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination.

                                      Toute personne, victime ou témoin d'une publication sur internet incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination peut faire un signalement à la police ou à la gendarmerie depuis  PHAROS . Cette plateforme est ouverte aux majeurs comme aux mineurs.

                                    • Signaler un contenu internet illégal (internet-signalement : Pharos)
                                    • À savoir

                                       PHAROS  ne traite pas les cas urgents. En cas d'urgence (exemple : infraction en cours), vous pouvez contacter la police ou la gendarmerie au 17, le Samu au 15 ou les pompiers au 18.

                                      Si les équipes de PHAROS estiment que le contenu est illicite, le signalement est transmis aux autorités compétentes (exemple : services d'enquête de la Police nationale ou de la Gendarmerie nationale). Une enquête peut être menée sous l'autorité du procureur de la République.

                                      Par ailleurs, les policiers et gendarmes peuvent contacter l'hébergeur du site ou de la plateforme concerné et lui demander de supprimer le contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination.

                                      Si vous êtes victime ou témoin d'un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination, vous pouvez faire une demande de retrait. Pour cela, vous devez faire un signalement :

                                      • À l'hébergeur, pour tout contenu publié sur internet

                                      • Au directeur de publication, s'il s'agit d'un message adressé par un internaute à unservice de communication en ligne (par exemple, un commentaire laissé sous une vidéo publiée sur un réseau social)

                                      Les hébergeurs doivent mettre en place des mécanismes de signalement permettant de les alerter en cas de publication d'un contenu illégal sur un site internet ou une plateforme en ligne (exemple : réseaux sociaux).

                                      Ce dispositif doit être visible et accessible à tous. Il permet de renseigner :

                                      • Vos coordonnées (nom, prénom, adresse mail, etc.)

                                      • Les raisons pour lesquelles vous estimez que le contenu incite à la haine, à la violence ou à la discrimination

                                      • La localisation précise du contenu signalé (par exemple, l'adresse URL).

                                      À la suite de ce signalement, l'hébergeur est obligé de retirer le contenu illicite ou d'en bloquer l'accès. S'il n'agit pas très vite, il encourt des sanctions pénales.

                                      À noter

                                      Certains hébergeurs disposent de mécanismes de signalement qui leur sont propres. Il en est ainsi pour les réseaux sociaux tels que  X (anciennement Twitter),  Facebook  ,  Instagram  , Snapchat  , TikTok, .

                                        Si vous êtes victime ou témoin d'un commentaire laissé sur internet qui incite à la haine, à la violence ou à la discrimination, vous pouvez le signaler au directeur de publication du site.

                                        La demande doit être adressée au directeur de publication du service de communication en ligne par lettre recommandée avec accusé de réception. Elle doit mentionner :

                                        • Le contenu que vous dénoncez (exemple : vous pouvez faire un copier/coller du texte concerné)

                                        • L'adresse internet (URL) du service de communication en ligne sur lequel la publication a été faite.

                                        Dès qu'il a connaissance du caractère illicite du commentaire, le directeur de publication doit immédiatement le faire retirer. S'il ne le fait pas, il risque des sanctions pénales.

                                          Si vous êtes victime d'une publication incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination, vous pouvez agir en justice contre son auteur.

                                          Si vous avez demandé à l'hébergeur d'un site internet ou d'une plateforme en ligne de retirer un tel contenu et qu'il ne l'a pas fait, vous pouvez également engager sa responsabilité pénale.

                                          Si vous avez signalé un commentaire en ligne incitant à la haine, à la violence et à la discrimination et qu'il n'a pas été supprimé, vous pouvez agir en justice contre le directeur de publication.

                                          Si une publication incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination vous porte directement atteinte, vous pouvez déposer plainte contre l'auteur de ce contenu.

                                          Le délai pour porter plainte est de 3 mois à compter de la commission des faits.

                                          Votre plainte doit être déposée auprès d'un commissariat de police, d'une brigade de gendarmerie ou en écrivant au procureur de la République.

                                          Où s'adresser ?

                                           Commissariat 

                                          Où s'adresser ?

                                           Gendarmerie 

                                          Il vous est possible de demander l'assistance d'un avocat. Ce professionnel vous accompagnera dès le dépôt de la plainte jusqu'à l'éventuel jugement de l'auteur de cette infraction.

                                          Où s'adresser ?

                                           Avocat 

                                          Votre plainte entraîne une enquête de police qui peut aboutir au jugement de l'auteur des faits par le  tribunal correctionnel .

                                          Si vous vous êtes constitué partie civile, vous pouvez également demander des dommages et intérêts à l'auteur de l'infraction.

                                          À noter

                                          Une association déclarée depuis plus de 5 ans et qui se propose de combattre le racisme ou d'assister les victimes de discrimination fondée sur leur origine nationale, ethnique, raciale ou religieuse peut également se constituer partie civile à votre place, avec votre accord.

                                            Si l'hébergeur internet n'a pas retiré un contenu illicite qui vous porte directement atteinte, vous pouvez déposer plainte contre lui.

                                            Le délai pour porter plainte est de 3 mois à compter de la commission des faits.

                                            Votre plainte doit être déposée auprès d'un commissariat de police, d'une brigade de gendarmerie ou en écrivant au procureur de la République.

                                            Où s'adresser ?

                                             Commissariat 

                                            Où s'adresser ?

                                             Gendarmerie 

                                            Il vous est possible de demander l'assistance d'un avocat. Ce professionnel vous accompagnera dès le dépôt de la plainte jusqu'à l'éventuel jugement de l'hébergeur.

                                            Où s'adresser ?

                                             Avocat 

                                            Votre plainte entraîne une enquête de police qui peut aboutir à la condamnation de l'hébergeur par le tribunal correctionnel .

                                            Si vous vous êtes constitué partie civile, vous pouvez également demander des dommages et intérêts à l'hébergeur.

                                            À noter

                                            Une association déclarée depuis plus de 5 ans et qui se propose de combattre le racisme ou d'assister les victimes de discrimination fondée sur leur origine nationale, ethnique, raciale ou religieuse peut également se constituer partie civile à votre place, avec votre accord.

                                                Si le directeur de publication n'a pas retiré un commentaire illicite qui vous porte directement atteinte, vous pouvez déposer plainte contre lui.

                                                Le délai pour porter plainte est de 3 mois à compter de la commission des faits.

                                                Votre plainte doit être déposée auprès d'un commissariat de police, d'une brigade de gendarmerie ou en écrivant au procureur de la République.

                                                Où s'adresser ?

                                                 Commissariat 

                                                Où s'adresser ?

                                                 Gendarmerie 

                                                Il vous est possible de demander l'assistance d'un avocat. Ce professionnel vous accompagnera dès le dépôt de la plainte jusqu'à l'éventuel jugement du directeur de publication.

                                                Où s'adresser ?

                                                 Avocat 

                                                Votre plainte entraîne une enquête de police qui peut aboutir à la condamnation du directeur de publication par le  tribunal correctionnel .

                                                Si la responsabilité pénale du directeur de publication est engagée, l'auteur du commentaire peut également être condamné en tant que complice.

                                                Si vous vous êtes constitué partie civile, vous pouvez également demander des dommages et intérêts au directeur de publication et à l'auteur de l'incitation.

                                                À noter

                                                Une association déclarée depuis plus de 5 ans et qui se propose de combattre le racisme ou d'assister les victimes de discrimination fondée sur leur origine nationale, ethnique, raciale ou religieuse peut également se constituer partie civile à votre place, avec votre accord.

                                                  L'auteur d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination peut être jugé et condamné à une sanction pénale par le  tribunal correctionnel . Il en est de même de l'hébergeur ou du directeur de publication qui ne respectent pas leurs obligations.

                                                  L'auteur d'une provocation à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt des sanctions pénales qui diffèrent selon son statut : particulier, personne dépositaire de l'autorité publique (exemple : un policier) ou chargée d'une mission de service public (exemple : un chauffeur de bus).

                                                  Peine principale

                                                  L'auteur d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :

                                                  • 1 an de prison

                                                  • 45 000 € d'amende.

                                                  À noter

                                                  S'il est prouvé qu'un crime ou un délit a eu lieu en raison d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination, l'auteur de la provocation est considéré comme le complice du criminel ou du délinquant. Ainsi, l'incitateur et l'auteur du crime ou du délit risquent les mêmes peines.

                                                  Peines complémentaires

                                                  L'auteur des faits peut également être condamné à des peines complémentaires tel que le bannissement des plateformes en ligne.

                                                  Cette sanction consiste à le bannir de la plateforme en ligne à partir de laquelle il a commis l'infraction. Dès qu'ils sont informés de cette condamnation, les fournisseurs d'accès au service en ligne concerné doivent bloquer les comptes de l'auteur des faits et veiller à ce qu'il ne puisse pas en créer de nouveaux.

                                                  Ce  bannissement  est valable pour une durée maximale de 6 mois. Cette période peut être portée à un an en cas de récidive.

                                                    Peines principales

                                                    L'auteur d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :

                                                    • 3 ans de prison

                                                    • 75 000 € d'amende.

                                                    À noter

                                                    S'il est prouvé qu'un crime ou un délit a eu lieu en raison d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination, l'auteur de la provocation est considéré comme le complice du criminel ou du délinquant. Ainsi, l'incitateur et l'auteur du crime ou du délit risquent les mêmes peines.

                                                    Peines complémentaires

                                                    L'auteur des faits peut également être condamné à des peines complémentaires tel que le bannissement des plateformes en ligne.

                                                    Cette sanction consiste à le bannir de la plateforme en ligne à partir de laquelle il a commis l'infraction. Dès qu'ils sont informés de cette condamnation, les fournisseurs d'accès au service en ligne concerné doivent bloquer les comptes de l'auteur des faits et veiller à ce qu'il ne puisse pas en créer de nouveaux.

                                                    Ce  bannissement  est valable pour une durée maximale de 6 mois. Cette période peut être portée à un an en cas de récidive.

                                                        Le directeur de publication qui ne retire pas immédiatement un contenu illicite ou qui n'en bloque pas l'accès encourt les mêmes sanctions que l'auteur du contenu. On dit qu'il est poursuivi comme auteur principal .

                                                        Par conséquent, les peines diffèrent en fonction du statut de l'auteur de la publication.

                                                        Le directeur de publication qui s'abstient de retirer ou de bloquer l'accès à un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :

                                                        • 1 an de prison

                                                        • 45 000 € d'amende.

                                                          Le directeur de publication qui s'abstient de retirer ou de bloquer l'accès à un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :

                                                          • 3 ans de prison

                                                          • 75 000 € d'amende.

                                                              Les peines encourues par l'hébergeur ne sont pas les mêmes selon qu'il s'agit d'une personne physique ou d'une personne morale.

                                                              L'hébergeur qui s'abstient de retirer ou de bloquer l'accès à un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine de :

                                                              • 1 an de prison

                                                              • 250 000 € d'amende.

                                                                L'hébergeur qui s'abstient de retirer ou de bloquer l'accès à un contenu incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination encourt une peine d'amende qui ne peut pas dépasser 6 %  de son chiffre d’affaires mondial annuel au cours de l’année précédente.

                                                                    L'incitation non publique à la haine, à la violence ou à la discrimination est une contravention.

                                                                    L'auteur des faits, par un écrit, une image, une vidéo, etc. pousse certaines personnes à avoir une réaction malveillante et haineuse à l’encontre d’autres individus ou groupes d'individus en raison de caractéristiques telles que :

                                                                    • La nationalité

                                                                    • La religion

                                                                    • L'ethnie

                                                                    • Le sexe

                                                                    • L'orientation sexuelle

                                                                    • Le handicap

                                                                    L'incitation à la haine est constituée dès lors que l'auteur utilise l'un des moyens suivants :

                                                                    • Discours

                                                                    • Menaces

                                                                    • Ecrits, gravures, peintures

                                                                    • Images, affiches

                                                                    • Vidéos

                                                                    L'incitation est non publique lorsqu'elle a lieu en comité restreint (exemple : lors d'une réunion de famille ou professionnelle).

                                                                    Attention

                                                                    L'incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination ne doit pas être confondue avec l'injure ou la diffamation.

                                                                    Par exemple, au cours d'une réunion professionnelle, un salarié insulte l'un de ses collègues de « peste ». Dans ce cas, il s'agit d'une injure. Si le salarié prétend que son collègue est un ancien « repris de justice », il s'agit d'une diffamation. Enfin, si le salarié fait un portrait très négatif de la religion de son collègue, il s'agit d'incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination.

                                                                    En tant que victime d'une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination, vous pouvez déposer plainte contre l'auteur des faits. Il est nécessaire que les propos, les écrits, l'image, etc. vous portent directement atteinte.

                                                                    Le délai pour porter plainte est de 3 mois à compter de la commission des faits.

                                                                    Votre plainte doit être déposée auprès d'un commissariat de police, d'une brigade de gendarmerie ou en écrivant au procureur de la République.

                                                                    Où s'adresser ?

                                                                     Commissariat 

                                                                    Où s'adresser ?

                                                                     Gendarmerie 

                                                                    Il vous est possible de demander l'assistance d'un avocat. Ce professionnel vous accompagnera dès le dépôt de la plainte jusqu'à l'éventuel jugement de l'auteur de l'infraction.

                                                                    Où s'adresser ?

                                                                     Avocat 

                                                                    Votre plainte entraîne une enquête de police qui peut aboutir à la condamnation de l'auteur des faits.

                                                                    Si vous vous êtes constitué partie civile, vous pouvez demander des dommages et intérêts.

                                                                    À noter

                                                                    Une association déclarée depuis plus de 5 ans et qui se propose de combattre le racisme ou d'assister les victimes de discrimination fondée sur leur origine nationale, ethnique, raciale ou religieuse peut également se constituer partie civile à votre place, avec votre accord.

                                                                    L'auteur d'une provocation à la haine, à la violence ou à la discrimination peut être jugé et condamné à des sanctions pénales par le  tribunal de police .

                                                                    Il encourt une amende de 1500 € . Elle peut être portée à 3000 € en cas de récidive.

                                                                  • Pour être informé en tant que victime d'une infraction :
                                                                    116 006 - Numéro d'aide aux victimes

                                                                    Ce service permet aux victimes d'infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d'être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

                                                                    En France métropolitaine

                                                                    116 006

                                                                    Appel gratuit

                                                                    Service joignable tous les jours de l'année, de 9h à 19h.

                                                                    Hors métropole (ou depuis l'étranger)

                                                                    + 33 (0)1 80 52 33 76

                                                                    Appel gratuit

                                                                    Service joignable tous les jours de l'année, de 9h à 19h.

                                                                    Pour les personnes malentendantes

                                                                    Par mail :  victimes@116006.fr 

                                                                  • Pour obtenir de l'aide face aux violences faites sur internet :
                                                                    Numéro national pour les victimes de violences numériques

                                                                    Pour poser vos questions de façon anonyme et confidentielle sur le harcèlement en ligne (cyber-harcèlement).

                                                                    Par téléphone

                                                                    3018

                                                                    Ouvert 7 jours sur 7, de 9h à 23H

                                                                    Appel gratuit et anonyme

                                                                    Site internet

                                                                     e-enfance.org 

                                                                  • Pour être accompagné en cas de racisme, d'antisémitisme ou de discrimination raciale :
                                                                     SOS Racisme 

                                                                  Lutte contre  l’habitat indigne :

                                                                  Vous êtes occupants d’un logement présentant des signes de non décence, de risque pour la santé ou la sécurité : comment agir ?

                                                                  Vous avez la possibilité de saisir le service Habitat OU d’effectuer les démarches auprès de la Préfecture -DDTM :

                                                                  SOIT PAR COURRIER

                                                                  Préfecture du Var

                                                                  Direction Départementale des Territoires et de la Mer du Var (DDTM)

                                                                  Service Habitat Rénovation Urbaine – Pôle Départementale de Lutte contre l’Habitat Indigne du Var

                                                                  Boulevard du 112ème Régiment d’Infanterie

                                                                  CS 31209

                                                                  83070 TOULON Cedex

                                                                  SOIT PAR COURRIEL   : ddtm-pdlhi@var.gouv.fr

                                                                  Liens utiles pour vos démarches  : https://www.var.gouv.fr/Demarches/Signaler-un-habitat-indigne

                                                                  Autres liens utiles :