Habitat : les démarches

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Opération Programmée pour l’Amélioration de l’Habitat (OPAH) "Coeur de Ville"

Recensement

Le recensement de la population a pour objectifs le dénombrement des logements et de la population résidant en France et la connaissance de leurs principales caractéristiques : sexe, âge, activité, professions exercées, caractéristiques des ménages, taille et type de logement, modes de transport, déplacements quotidiens. Pour une commune ces statistiques servent à prévoir les besoins en équipements collectifs comme les écoles, les maisons de retraites ou les hôpitaux. Elles servent surtout à établir la contribution de l'État au budget de la commune pour financer ces investissements.

Les communes de 10 000 habitants ou plus comme Cuers font désormais l'objet d'une enquête annuelle (de janvier à février) auprès d'un échantillon de 8 % de la population, dispersé sur l'ensemble de leur territoire. Au bout de 5 ans, tout le territoire de ces communes est pris en compte et les résultats du recensement sont calculés à partir de l'échantillon de 40 % de leur population ainsi constitué.

L'Adressage et certificat de numérotage

L’adressage précise les numéros affectés aux différents accès sur la ou les voies bordant la ou les parcelles. La demande d’attribution ou de confirmation d’une adresse est nécessaire pour une construction ou une réhabilitation sur une ou plusieurs parcelles, en particulier si les accès sont modifiés. Ce document permet de localiser votre parcelle afin d’améliorer l’intervention des services d’urgence (les pompiers, le SAMU, le SMUR, la police, la gendarmerie …..) et l'efficacité des services publics tels que la Poste, les impôts, la CAF ….. , les réseaux tels que l’ouverture d’un compteur (eau ou électricité), la fibre, et les autres services tels que les livraisons et autres.

Il permet aussi de mettre à jour la Basse d'Adresse Nationale (BAN) produite par l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) (cf l’article L. 321-4 du même code par la loi n° 2016-1321 du 7 octobre 2016 pour une République numérique). C'est la seule base de données d’adresses officiellement reconnue par l’administration. Elle est utilisée par de nombreux services numériques publics et privés.

Comment obtenir un certificat de numérotage ?

  1. Téléchargez le formulaire
  2. Remplissez le (informatiquement ou imprimez le et remplissez le à la main) et adressez le accompagné des documents demandés :
  • soit par courrier postal : Mairie de Cuers - Service "Habitat"– Place Général Magnan – BP 37 – 83390 Cuers
  • Soit en le déposant à l’accueil ou dans la boite aux lettres de l’Hôtel de Ville sous pli cacheté à l'attention du service "Habitat"
  • soit en ligne.

Déclaration de la présence de termites ou insectes xylophages dans un logement ou un immeuble :

Chômage partiel ou technique (activité partielle) : démarches de l'employeur

En cas de recours à l'activité partielle au sein d'une entreprise, les salariés touchés par une perte de salaire sont indemnisés (dispositif appelé aussi chômage partiel ou chômage technique ) par l'employeur. Le contrat de travail du salarié est suspendu et le salarié ne travaille plus. Comment l'employeur peut-il mettre en place l'activité partielle ? Nous faisons un point sur la réglementation.

    Pour faire face à une baisse d'activité dans l'entreprise, l'employeur peut recourir à l'activité partielle dans les cas suivants :

    • Conjoncture économique

    • Difficultés d'approvisionnement

    • Sinistre ou intempéries de caractère exceptionnel

    • Transformation, restructuration ou modernisation de l'entreprise

    • Tout autre circonstance de caractère exceptionnel.

    Elle peut prendre plusieurs formes :

    • Diminution de la durée hebdomadaire du travail

    • Fermeture temporaire de tout ou partie de l'établissement.

    L'employeur peut percevoir pour ses salariés une allocation d'activité partielle dans la limite de :

    • 1 000 heures par an et par salarié quelle que soit la branche professionnelle

    • 100 heures par an et par salarié si l'activité partielle est due à des travaux de modernisation des installations et des bâtiments de l'entreprise.

    En cas de réduction ou de suspension d'activité de l'entreprise, seuls certains salariés peuvent bénéficier du chômage partiel.

    Salariés concernés

    Un salarié ayant un contrat de travail de droit français ( CDI ,  CDD  notamment) bénéficie du chômage partiel qu'il soit :

    • À temps plein ou à temps partiel

    • En convention de forfait en heures ou en jours sur l'année

    • Voyageur, représentant et placier (VRP)

    • Salarié employé en France par une entreprise étrangère sans établissement en France

    • Rémunéré au cachet

    • Salarié intérimaire en contrat de mission suite à la suspension, l'annulation ou la rupture d'un contrat de mise à disposition signé

    • En CDI dans le cadre du portage salarial

    • Cadre dirigeant en cas de fermeture totale de l’entreprise ou d'une partie de celle-ci (fermeture d'un atelier ou d'un service de l'entreprise par exemple)

    • Travailleur à domicile payé à la tâche

    • Journaliste rémunéré à la pige.

    Salariés exclus

    Les salariés suivants ne bénéficient pas du chômage partiel :

    • Salariés dont la réduction ou la suspension de l'activité est provoquée par un différend collectif de travail (grève par exemple)

    • Salariés ayant un contrat de travail de droit français qui travaillent à l'étranger

    • Salariés expatriés ayant un contrat de droit local.

    Dans les entreprises de 50 salariés ou plus, l'employeur doit consulter pour avis, le comité social et économique (CSE) préalablement à sa demande d'autorisation administrative d'activité partielle.

    La consultation concerne les sujets suivants :

    • Motifs de recours à l'activité partielle

    • Catégories professionnelles et activités concernées

    • Niveau et critères de mise en œuvre des réductions d'horaire

    • Actions de formation envisagées ou tout autre engagement pris par l'employeur.

    Le CSE est informé à la fin de chaque période d'autorisation des conditions dans lesquelles l'activité partielle a été mise en œuvre.

    À noter

    En cas de sinistre ou de circonstances exceptionnelles, l'employeur a un délai de 2 mois pour consulter et adresser l'avis du CSE à l'appui de sa demande d'autorisation préalable.

    La procédure varie en fonction du caractère exceptionnel de la demande, en cas de sinistres ou d’intempéries :

    L'employeur doit adresser une demande d'autorisation d'activité partielle à la  DDETS .

    L'employeur doit adresser sa demande dans un délai de 30 jours à compter du placement de ses salariés en activité partielle.

    La demande se fait sur internet :

    La demande doit préciser les éléments suivants :

    • Motif justifiant le recours à l'activité partielle

    • Période prévisible de sous-activité

    • Circonstances détaillées et situation économique à l'origine de la demande

    • Nombre de salariés concernés.

    Elle doit être accompagnée de l'avis préalable du  CSE .

    En cas de sinistre ou de circonstances exceptionnelles, l'employeur a un délai de 2 mois pour consulter et adresser l'avis du CSE à l'appui de sa demande d'autorisation préalable.

    L'administration a un délai de réponse de 15 jours calendaires à réception de la demande d'autorisation. Un accusé de réception de la  DDETS  ou  DDETSPP  précise le délai au-delà duquel l'absence de réponse vaut autorisation.

    Lorsque la demande est refusée, la décision précise les motifs du refus.

    L'état d'avancement de l'instruction du dossier peut être suivi sur internet.

    Une fois l'autorisation administrative obtenue, l'employeur peut réduire ou suspendre son activité et mettre ses salariés en chômage technique. C'est cette autorisation qui lui permet d'obtenir le remboursement des indemnités versées aux salariés.

    L'employeur doit adresser une demande d'autorisation d'activité partielle à la  DDETS .

    L'employeur doit adresser sa demande dans un délai de 30 jours à compter du placement de ses salariés en activité partielle.

    La demande se fait sur internet :

    La demande doit préciser les éléments suivants :

    • Motif justifiant le recours à l'activité partielle

    • Période prévisible de sous-activité

    • Circonstances détaillées et situation économique à l'origine de la demande

    • Nombre de salariés concernés.

    Elle doit être accompagnée de l'avis préalable du  CSE .

    En cas de sinistre ou de circonstances exceptionnelles, l'employeur a un délai de 2 mois pour consulter et adresser l'avis du CSE à l'appui de sa demande d'autorisation préalable.

    L'administration a un délai de réponse de 15 jours calendaires à réception de la demande d'autorisation. Un accusé de réception de la  DDETS  ou  DDETSPP  précise le délai au-delà duquel l'absence de réponse vaut autorisation.

    Lorsque la demande est refusée, la décision précise les motifs du refus.

    L'état d'avancement de l'instruction du dossier peut être suivi sur internet.

    Une fois l'autorisation administrative obtenue, l'employeur peut réduire ou suspendre son activité et mettre ses salariés en chômage technique. C'est cette autorisation qui lui permet d'obtenir le remboursement des indemnités versées aux salariés.

    Avant la mise en activité partielle, l'employeur doit adresser une demande préalable d'autorisation d'activité partielle à la  DDETS  d'implantation de l'établissement.

    La demande se fait sur internet :

    La demande doit être accompagnée de l'avis préalable du  CSE .

    L'administration a un délai de réponse de 15 jours calendaires à réception de la demande d'autorisation. Un accusé de réception de la  DDETS  précise le délai au-delà duquel l'absence de réponse vaut autorisation.

    Lorsque la demande est refusée, la décision précise les motifs du refus.

    L'état d'avancement de l'instruction du dossier peut être suivi sur internet.

    Une fois l'autorisation administrative obtenue, l'employeur peut réduire ou suspendre son activité et mettre ses salariés en chômage technique. C'est cette autorisation qui lui permet d'obtenir le remboursement des indemnités versées aux salariés.

    À noter

    Un employeur qui a au moins 50 établissements implantés dans plusieurs départements peut adresser une demande unique pour tous ses établissements.

    L'employeur doit proposer des engagements en matière d'emploi et de formation professionnelle dans sa demande d'autorisation.

    La procédure varie selon que l’autorisation est demandée pour la 1re fois, moins ou plus de 3 mois après une précédente période d’activité partielle :

    L'employeur s'engage à maintenir dans l'emploi les salariés pendant la durée de l'activité partielle.

    Il doit également respecter les conditions d'autorisation d'activité partielle.

      L'employeur doit prendre des engagements vis-à-vis des salariés s'il effectue une nouvelle demande préalable d'autorisation d'activité partielle.

      Cette obligation s'applique s'il a déjà placé ses salariés en activité partielle au cours des 36 mois précédant la date de dépôt de sa nouvelle demande.

      Ces engagements, mentionnés dans sa demande d'autorisation, peuvent notamment porter sur les éléments suivants :

      • Maintien dans l'emploi des salariés pendant une durée pouvant atteindre le double de la période d'autorisation

      • Actions spécifiques de formation pour les salariés placés en activité partielle

      • Actions en matière de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC)

      • Actions visant à rétablir la situation économique de l'entreprise.

      La  Dreets  fixe ces engagements, qui sont notifiés dans la décision d'autorisation et s'assure du respect des engagements souscrits par l'employeur.

      À noter

      En cas de non-respect, l'employeur peut être amené à rembourser les sommes perçues au titre de l'allocation d'activité partielle.

        L'employeur s'engage à maintenir dans l'emploi les salariés pendant la durée de l'activité partielle.

        Il doit également respecter les conditions d'autorisation d'activité partielle.

          L'autorisation d'activité partielle peut être accordée pour une période de 3 mois. Elle peut être renouvelée dans la limite de 6 mois, consécutifs ou non, sur une période de 12 mois consécutifs.

          L'employeur doit verser au salarié une indemnité correspondant à 60 % de son salaire brut par heure chômée, soit environ à 72 % du salaire net horaire.

          Cette indemnité ne peut ni être inférieure à 9,40 € , ni être supérieure à un plafond de 32,08 € par heure chômée.

          L'indemnité est versée par l'employeur à la date habituelle de versement du salaire.

          L'employeur doit faire figurer sur le bulletin de paie du salarié (ou dans un document annexé) le nombre des heures indemnisées, les taux appliqués et les sommes versées.

          Une convention ou un accord collectif et une décision unilatérale de l'employeur peuvent prévoir une indemnisation complémentaire.

          À savoir

          En cas de procédure de sauvegarde, de redressement ou de liquidation judiciaire, l'Agence de services et de paiement (ASP) verse directement la somme au salarié sur décision du préfet.

          À noter

          Les salariés en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation dont la rémunération est inférieure au  Smic  reçoivent également une indemnité horaire d'activité partielle. Son montant est égal au pourcentage du Smic ou des dispositions conventionnelles qui leur sont applicables.

          L'allocation d'activité partielle versée varie en fonction du secteur d'activité dont dépend l'entreprise :

          Si l'employeur a obtenu l'autorisation administrative, il peut déposer une demande d'indemnisation qui lui permet d'obtenir le remboursement mensuel des rémunérations versées aux salariés concernés.

          L'employeur peut percevoir l'allocation d'activité partielle dans la limite d'un plafond de 1 000 heures par an et par salarié.

          L'allocation est fixée à 36 % de la rémunération horaire brute.

          Elle est de :

          • 8,46 € minimum

          • 19,25 € maximum.

          Le paiement est effectué par l'Agence de services et de paiement (ASP), qui agit pour le compte de l'État.

          Attention

          En cas de fraude ou de fausse déclaration, l'employeur encourt jusqu'à 2 ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende.

            L'employeur peut percevoir l'allocation d'activité partielle dans la limite de 100 heures par an par salarié.

            L'allocation est fixée à 36 % de la rémunération horaire brute.

            Elle est égale à :

            • 8,46 € minimum

            • 19,25 € maximum.

            Le paiement est effectué par l'Agence de services et de paiement (ASP), qui agit pour le compte de l'État.

            Attention

            En cas de fraude ou de fausse déclaration, l'employeur encourt jusqu'à 2 ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende.

              Chaque mois, pour obtenir le remboursement des indemnités, l'employeur doit adresser sur internet une demande d'indemnisation pour l'allocation d'activité partielle :

            • Demande d'autorisation préalable et d'indemnisation d'activité partielle
            • L'employeur doit faire sa demande dans un délai de 6 mois suivant la fin de la période couverte par l'autorisation d'activité partielle.

              Le paiement est effectué par l'Agence de services et de paiement (ASP) qui agit pour le compte de l'État.

              Attention

              En cas de fraude ou de fausse déclaration, l'employeur encourt jusqu'à 2 ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende.

            Chômage partiel (activité partielle)

              • Service d'assistance de l'Agence de services et de paiement (ASP)

                Pour toute difficulté rencontrée avec votre compte « Activité partielle »

                Par téléphone

                0800 70 58 00

                coordonnées service assistance

                Territoires

                jours

                horaires

                Métropole

                du lundi au vendredi

                de 08h30 à 18 h

                Guadeloupe

                du lundi au vendredi

                de 7 h à 12 h (heure locale)

                Martinique

                du lundi au vendredi

                de 7 h à 12 h (heure locale)

                Guyane

                du lundi au vendredi

                de 7 h à 13 h (heure locale)

                La Réunion

                du lundi au vendredi

                de 10h30 à 20 h (heure locale)

                Mayotte

                du lundi au vendredi

                de 9h30 à 19h (heure locale)

                Par courrier électronique

                Support technique : contact-ap@asp-public.fr

                en précisant votre Siret, la dénomination de votre établissement, votre nom, prénom, numéro de téléphone.

              Chômage partiel ou technique (activité partielle) : démarches de l'employeur

              En cas de recours à l'activité partielle au sein d'une entreprise, les salariés touchés par une perte de salaire sont indemnisés (dispositif appelé aussi chômage partiel ou chômage technique ) par l'employeur. Le contrat de travail du salarié est suspendu et le salarié ne travaille plus. Comment l'employeur peut-il mettre en place l'activité partielle ? Nous faisons un point sur la réglementation.

                Pour faire face à une baisse d'activité dans l'entreprise, l'employeur peut recourir à l'activité partielle dans les cas suivants :

                • Conjoncture économique

                • Difficultés d'approvisionnement

                • Sinistre ou intempéries de caractère exceptionnel

                • Transformation, restructuration ou modernisation de l'entreprise

                • Tout autre circonstance de caractère exceptionnel.

                Elle peut prendre plusieurs formes :

                • Diminution de la durée hebdomadaire du travail

                • Fermeture temporaire de tout ou partie de l'établissement.

                L'employeur peut percevoir pour ses salariés une allocation d'activité partielle dans la limite de :

                • 1 000 heures par an et par salarié quelle que soit la branche professionnelle

                • 100 heures par an et par salarié si l'activité partielle est due à des travaux de modernisation des installations et des bâtiments de l'entreprise.

                En cas de réduction ou de suspension d'activité de l'entreprise, seuls certains salariés peuvent bénéficier du chômage partiel.

                Salariés concernés

                Un salarié ayant un contrat de travail de droit français ( CDI ,  CDD  notamment) bénéficie du chômage partiel qu'il soit :

                • À temps plein ou à temps partiel

                • En convention de forfait en heures ou en jours sur l'année

                • Voyageur, représentant et placier (VRP)

                • Salarié employé en France par une entreprise étrangère sans établissement en France

                • Rémunéré au cachet

                • Salarié intérimaire en contrat de mission suite à la suspension, l'annulation ou la rupture d'un contrat de mise à disposition signé

                • En CDI dans le cadre du portage salarial

                • Cadre dirigeant en cas de fermeture totale de l’entreprise ou d'une partie de celle-ci (fermeture d'un atelier ou d'un service de l'entreprise par exemple)

                • Travailleur à domicile payé à la tâche

                • Journaliste rémunéré à la pige.

                Salariés exclus

                Les salariés suivants ne bénéficient pas du chômage partiel :

                • Salariés dont la réduction ou la suspension de l'activité est provoquée par un différend collectif de travail (grève par exemple)

                • Salariés ayant un contrat de travail de droit français qui travaillent à l'étranger

                • Salariés expatriés ayant un contrat de droit local.

                Dans les entreprises de 50 salariés ou plus, l'employeur doit consulter pour avis, le comité social et économique (CSE) préalablement à sa demande d'autorisation administrative d'activité partielle.

                La consultation concerne les sujets suivants :

                • Motifs de recours à l'activité partielle

                • Catégories professionnelles et activités concernées

                • Niveau et critères de mise en œuvre des réductions d'horaire

                • Actions de formation envisagées ou tout autre engagement pris par l'employeur.

                Le CSE est informé à la fin de chaque période d'autorisation des conditions dans lesquelles l'activité partielle a été mise en œuvre.

                À noter

                En cas de sinistre ou de circonstances exceptionnelles, l'employeur a un délai de 2 mois pour consulter et adresser l'avis du CSE à l'appui de sa demande d'autorisation préalable.

                La procédure varie en fonction du caractère exceptionnel de la demande, en cas de sinistres ou d’intempéries :

                L'employeur doit adresser une demande d'autorisation d'activité partielle à la  DDETS .

                L'employeur doit adresser sa demande dans un délai de 30 jours à compter du placement de ses salariés en activité partielle.

                La demande se fait sur internet :

                La demande doit préciser les éléments suivants :

                • Motif justifiant le recours à l'activité partielle

                • Période prévisible de sous-activité

                • Circonstances détaillées et situation économique à l'origine de la demande

                • Nombre de salariés concernés.

                Elle doit être accompagnée de l'avis préalable du  CSE .

                En cas de sinistre ou de circonstances exceptionnelles, l'employeur a un délai de 2 mois pour consulter et adresser l'avis du CSE à l'appui de sa demande d'autorisation préalable.

                L'administration a un délai de réponse de 15 jours calendaires à réception de la demande d'autorisation. Un accusé de réception de la  DDETS  ou  DDETSPP  précise le délai au-delà duquel l'absence de réponse vaut autorisation.

                Lorsque la demande est refusée, la décision précise les motifs du refus.

                L'état d'avancement de l'instruction du dossier peut être suivi sur internet.

                Une fois l'autorisation administrative obtenue, l'employeur peut réduire ou suspendre son activité et mettre ses salariés en chômage technique. C'est cette autorisation qui lui permet d'obtenir le remboursement des indemnités versées aux salariés.

                L'employeur doit adresser une demande d'autorisation d'activité partielle à la  DDETS .

                L'employeur doit adresser sa demande dans un délai de 30 jours à compter du placement de ses salariés en activité partielle.

                La demande se fait sur internet :

                La demande doit préciser les éléments suivants :

                • Motif justifiant le recours à l'activité partielle

                • Période prévisible de sous-activité

                • Circonstances détaillées et situation économique à l'origine de la demande

                • Nombre de salariés concernés.

                Elle doit être accompagnée de l'avis préalable du  CSE .

                En cas de sinistre ou de circonstances exceptionnelles, l'employeur a un délai de 2 mois pour consulter et adresser l'avis du CSE à l'appui de sa demande d'autorisation préalable.

                L'administration a un délai de réponse de 15 jours calendaires à réception de la demande d'autorisation. Un accusé de réception de la  DDETS  ou  DDETSPP  précise le délai au-delà duquel l'absence de réponse vaut autorisation.

                Lorsque la demande est refusée, la décision précise les motifs du refus.

                L'état d'avancement de l'instruction du dossier peut être suivi sur internet.

                Une fois l'autorisation administrative obtenue, l'employeur peut réduire ou suspendre son activité et mettre ses salariés en chômage technique. C'est cette autorisation qui lui permet d'obtenir le remboursement des indemnités versées aux salariés.

                Avant la mise en activité partielle, l'employeur doit adresser une demande préalable d'autorisation d'activité partielle à la  DDETS  d'implantation de l'établissement.

                La demande se fait sur internet :

                La demande doit être accompagnée de l'avis préalable du  CSE .

                L'administration a un délai de réponse de 15 jours calendaires à réception de la demande d'autorisation. Un accusé de réception de la  DDETS  précise le délai au-delà duquel l'absence de réponse vaut autorisation.

                Lorsque la demande est refusée, la décision précise les motifs du refus.

                L'état d'avancement de l'instruction du dossier peut être suivi sur internet.

                Une fois l'autorisation administrative obtenue, l'employeur peut réduire ou suspendre son activité et mettre ses salariés en chômage technique. C'est cette autorisation qui lui permet d'obtenir le remboursement des indemnités versées aux salariés.

                À noter

                Un employeur qui a au moins 50 établissements implantés dans plusieurs départements peut adresser une demande unique pour tous ses établissements.

                L'employeur doit proposer des engagements en matière d'emploi et de formation professionnelle dans sa demande d'autorisation.

                La procédure varie selon que l’autorisation est demandée pour la 1re fois, moins ou plus de 3 mois après une précédente période d’activité partielle :

                L'employeur s'engage à maintenir dans l'emploi les salariés pendant la durée de l'activité partielle.

                Il doit également respecter les conditions d'autorisation d'activité partielle.

                  L'employeur doit prendre des engagements vis-à-vis des salariés s'il effectue une nouvelle demande préalable d'autorisation d'activité partielle.

                  Cette obligation s'applique s'il a déjà placé ses salariés en activité partielle au cours des 36 mois précédant la date de dépôt de sa nouvelle demande.

                  Ces engagements, mentionnés dans sa demande d'autorisation, peuvent notamment porter sur les éléments suivants :

                  • Maintien dans l'emploi des salariés pendant une durée pouvant atteindre le double de la période d'autorisation

                  • Actions spécifiques de formation pour les salariés placés en activité partielle

                  • Actions en matière de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC)

                  • Actions visant à rétablir la situation économique de l'entreprise.

                  La  Dreets  fixe ces engagements, qui sont notifiés dans la décision d'autorisation et s'assure du respect des engagements souscrits par l'employeur.

                  À noter

                  En cas de non-respect, l'employeur peut être amené à rembourser les sommes perçues au titre de l'allocation d'activité partielle.

                    L'employeur s'engage à maintenir dans l'emploi les salariés pendant la durée de l'activité partielle.

                    Il doit également respecter les conditions d'autorisation d'activité partielle.

                      L'autorisation d'activité partielle peut être accordée pour une période de 3 mois. Elle peut être renouvelée dans la limite de 6 mois, consécutifs ou non, sur une période de 12 mois consécutifs.

                      L'employeur doit verser au salarié une indemnité correspondant à 60 % de son salaire brut par heure chômée, soit environ à 72 % du salaire net horaire.

                      Cette indemnité ne peut ni être inférieure à 9,40 € , ni être supérieure à un plafond de 32,08 € par heure chômée.

                      L'indemnité est versée par l'employeur à la date habituelle de versement du salaire.

                      L'employeur doit faire figurer sur le bulletin de paie du salarié (ou dans un document annexé) le nombre des heures indemnisées, les taux appliqués et les sommes versées.

                      Une convention ou un accord collectif et une décision unilatérale de l'employeur peuvent prévoir une indemnisation complémentaire.

                      À savoir

                      En cas de procédure de sauvegarde, de redressement ou de liquidation judiciaire, l'Agence de services et de paiement (ASP) verse directement la somme au salarié sur décision du préfet.

                      À noter

                      Les salariés en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation dont la rémunération est inférieure au  Smic  reçoivent également une indemnité horaire d'activité partielle. Son montant est égal au pourcentage du Smic ou des dispositions conventionnelles qui leur sont applicables.

                      L'allocation d'activité partielle versée varie en fonction du secteur d'activité dont dépend l'entreprise :

                      Si l'employeur a obtenu l'autorisation administrative, il peut déposer une demande d'indemnisation qui lui permet d'obtenir le remboursement mensuel des rémunérations versées aux salariés concernés.

                      L'employeur peut percevoir l'allocation d'activité partielle dans la limite d'un plafond de 1 000 heures par an et par salarié.

                      L'allocation est fixée à 36 % de la rémunération horaire brute.

                      Elle est de :

                      • 8,46 € minimum

                      • 19,25 € maximum.

                      Le paiement est effectué par l'Agence de services et de paiement (ASP), qui agit pour le compte de l'État.

                      Attention

                      En cas de fraude ou de fausse déclaration, l'employeur encourt jusqu'à 2 ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende.

                        L'employeur peut percevoir l'allocation d'activité partielle dans la limite de 100 heures par an par salarié.

                        L'allocation est fixée à 36 % de la rémunération horaire brute.

                        Elle est égale à :

                        • 8,46 € minimum

                        • 19,25 € maximum.

                        Le paiement est effectué par l'Agence de services et de paiement (ASP), qui agit pour le compte de l'État.

                        Attention

                        En cas de fraude ou de fausse déclaration, l'employeur encourt jusqu'à 2 ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende.

                          Chaque mois, pour obtenir le remboursement des indemnités, l'employeur doit adresser sur internet une demande d'indemnisation pour l'allocation d'activité partielle :

                        • Demande d'autorisation préalable et d'indemnisation d'activité partielle
                        • L'employeur doit faire sa demande dans un délai de 6 mois suivant la fin de la période couverte par l'autorisation d'activité partielle.

                          Le paiement est effectué par l'Agence de services et de paiement (ASP) qui agit pour le compte de l'État.

                          Attention

                          En cas de fraude ou de fausse déclaration, l'employeur encourt jusqu'à 2 ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende.

                        Chômage partiel (activité partielle)

                          • Service d'assistance de l'Agence de services et de paiement (ASP)

                            Pour toute difficulté rencontrée avec votre compte « Activité partielle »

                            Par téléphone

                            0800 70 58 00

                            coordonnées service assistance

                            Territoires

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                            Métropole

                            du lundi au vendredi

                            de 08h30 à 18 h

                            Guadeloupe

                            du lundi au vendredi

                            de 7 h à 12 h (heure locale)

                            Martinique

                            du lundi au vendredi

                            de 7 h à 12 h (heure locale)

                            Guyane

                            du lundi au vendredi

                            de 7 h à 13 h (heure locale)

                            La Réunion

                            du lundi au vendredi

                            de 10h30 à 20 h (heure locale)

                            Mayotte

                            du lundi au vendredi

                            de 9h30 à 19h (heure locale)

                            Par courrier électronique

                            Support technique : contact-ap@asp-public.fr

                            en précisant votre Siret, la dénomination de votre établissement, votre nom, prénom, numéro de téléphone.

                          Lutte contre  l’habitat indigne :

                          Vous êtes occupants d’un logement présentant des signes de non décence, de risque pour la santé ou la sécurité : comment agir ?

                          Vous avez la possibilité de saisir le service Habitat OU d’effectuer les démarches auprès de la Préfecture -DDTM :

                          SOIT PAR COURRIER

                          Préfecture du Var

                          Direction Départementale des Territoires et de la Mer du Var (DDTM)

                          Service Habitat Rénovation Urbaine – Pôle Départementale de Lutte contre l’Habitat Indigne du Var

                          Boulevard du 112ème Régiment d’Infanterie

                          CS 31209

                          83070 TOULON Cedex

                          SOIT PAR COURRIEL   : ddtm-pdlhi@var.gouv.fr

                          Liens utiles pour vos démarches  : https://www.var.gouv.fr/Demarches/Signaler-un-habitat-indigne

                          Autres liens utiles :