Habitat : les démarches

Publié le – Mis à jour le

Opération Programmée pour l’Amélioration de l’Habitat (OPAH) “Coeur de Ville”

Recensement

Le recensement de la population a pour objectifs le dénombrement des logements et de la population résidant en France et la connaissance de leurs principales caractéristiques : sexe, âge, activité, professions exercées, caractéristiques des ménages, taille et type de logement, modes de transport, déplacements quotidiens. Pour une commune ces statistiques servent à prévoir les besoins en équipements collectifs comme les écoles, les maisons de retraites ou les hôpitaux. Elles servent surtout à établir la contribution de l’État au budget de la commune pour financer ces investissements.

Les communes de 10 000 habitants ou plus comme Cuers font désormais l’objet d’une enquête annuelle (de janvier à février) auprès d’un échantillon de 8 % de la population, dispersé sur l’ensemble de leur territoire. Au bout de 5 ans, tout le territoire de ces communes est pris en compte et les résultats du recensement sont calculés à partir de l’échantillon de 40 % de leur population ainsi constitué.

L’Adressage et certificat de numérotage

L’adressage précise les numéros affectés aux différents accès sur la ou les voies bordant la ou les parcelles. La demande d’attribution ou de confirmation d’une adresse est nécessaire pour une construction ou une réhabilitation sur une ou plusieurs parcelles, en particulier si les accès sont modifiés. Ce document permet de localiser votre parcelle afin d’améliorer l’intervention des services d’urgence (les pompiers, le SAMU, le SMUR, la police, la gendarmerie …..) et l’efficacité des services publics tels que la Poste, les impôts, la CAF ….. , les réseaux tels que l’ouverture d’un compteur (eau ou électricité), la fibre, et les autres services tels que les livraisons et autres.

Il permet aussi de mettre à jour la Basse d’Adresse Nationale (BAN) produite par l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) (cf l’article L. 321-4 du même code par la loi n° 2016-1321 du 7 octobre 2016 pour une République numérique). C’est la seule base de données d’adresses officiellement reconnue par l’administration. Elle est utilisée par de nombreux services numériques publics et privés.

Comment obtenir un certificat de numérotage ?

  1. Téléchargez le formulaire
  2. Remplissez le (informatiquement ou imprimez le et remplissez le à la main) et adressez le accompagné des documents demandés :
  • soit par courrier postal : Mairie de Cuers – Service “Habitat”– Place Général Magnan – BP 37 – 83390 Cuers
  • Soit en le déposant à l’accueil ou dans la boite aux lettres de l’Hôtel de Ville sous pli cacheté à l’attention du service “Habitat”
  • soit en ligne.

Déclaration de la présence de termites ou insectes xylophages dans un logement ou un immeuble :

Qu’est-ce que la médiation familiale ?

Vous avez un conflit familial (séparation, autorité parentale…) ou un conflit dans une succession ? La médiation familiale peut se faire, à votre demande, avec l’accord de toutes les parties au conflit. Elle peut aussi être décidée par le juge. Elle permet une communication pour trouver une solution amiable. Elle n’est pas possible si des violences ont été commises par l’un des parents sur l’autre parent ou sur l’enfant. Nous vous présentons les informations à connaître.

Divorce, séparation de corps

Les parties peuvent tenter une médiation familiale, avant de saisir le juge. Le but est d’apaiser les tensions et de recréer un lien familial entre enfants, parents, grands-parents, héritiers…

Le médiateur familial aide les parties en favorisant la reprise du dialogue afin qu’elles trouvent elles-mêmes un accord.

En cas de tentative de médiation, le délai de prescription pour éventuellement saisir le juge par la suite est suspendu. Cette suspension commence à compter du jour de votre accord écrit de faire une médiation. S’il n’y a pas d’écrit, à compter du jour de votre 1re réunion de médiation.

    La médiation familiale peut accompagner les parties et permettre de régler un conflit. Elle s’adresse notamment aux personnes suivantes :

    • Parent en situation de rupture, séparation, divorce

    • Grand-parent souhaitant garder des liens avec leurs petits-enfants

    • Personne souhaitant garder des liens avec les enfants de son ex-conjoint (époux, épouse, partenaire de  Pacs , concubin)

    • Jeune adulte en rupture de lien ou de communication avec sa famille

    • Héritier

    À noter

    la médiation ne peut commencer que si les parties sont présentes et donnent leur accord.

    Les parties ne peuvent pas demander la médiation familiale s’il existe un milieu familial violent. Elle n’est pas possible si des violences ont été commises par l’un des parents sur l’autre parent ou sur l’enfant.

    Le médiateur familial est un professionnel qualifié (diplôme d’État).

    Il ne juge pas et n’a pas de pouvoir de décision.

    Il vous aide à trouver une solution au conflit, en respectant les principes de confidentialité, d’impartialité et de neutralité.

    À savoir

    Le principe de confidentialité ne s’applique pas en cas de motif impérieux (protection de l’enfant…) ou si la révélation de l’accord est nécessaire à sa mise en œuvre.

    Le médiateur n’a pas de pouvoir d’enquête. Toutefois, il peut, avec l’accord des parties et pour les besoins de la médiation, entendre des personnes extérieures au conflit, par exemple, des voisins ou des amis qui sont d’accord.

    La mission du médiateur familial peut se pratiquer sous différentes formes :

    • Au sein d’associations nationales ou locales

    • Au sein de la CNAF

    • En tant que profession libérale avec un médiateur privé.

    Les parties doivent s’entendre sur le choix du médiateur familial.

    Les parties peuvent s’adresser à une association nationale de médiation familiale.

    Il est possible de contacter le tribunal judiciaire ou la cour d’appel pour obtenir la liste des médiateurs familiaux conventionnés.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    Où s’adresser ?

     Cour d’appel 

      Les parties peuvent s’adresser à une association familiale conventionnée auprès de la CNAF.

        Les parties peuvent s’adresser à un médiateur privé qualifié en matière familiale.

          La médiation familiale se déroule en 3 étapes :

        1. L’entretien d’information au cours duquel le médiateur familial vous présente les objectifs, le contenu et les thèmes que vous pouvez aborder. Vous pouvez accepter ou refuser de vous engager dans une médiation familiale. Cet entretien est sans engagement.

        2. Les entretiens de médiation familiale se déroulent de la manière suivante :

          • Durée de 1h30 à 2 heures environ, sur une période qui n’a pas de durée limite (elle peut être très courte ou longue, dépassant les 3 mois).

          • Le nombre d’entretiens est variable selon votre situation et les sujets que vous souhaitez aborder. Il est souvent limité à 6.

          • Vous êtes tous présents. Dans certaines situations, votre entretien peut avoir lieu à distance (détention, éloignement géographique…). Vos avocats peuvent assister à la médiation mais c’est le médiateur qui mène les entretiens.

        3. En cas d’accord, vous pouvez demander au juge de l’homologuer. Cet accord aura la même force exécutoire qu’un jugement.

        À noter

        Si vous ne trouvez pas d’accord à la fin de la médiation, vous pouvez saisir le juge compétent.

          L’entretien d’information est gratuit.

          Une somme est demandée aux parties, pour la suite. C’est le médiateur qui indique le montant qu’il fixe.

          Les parties peuvent décider comment sont partagés les frais. En l’absence d’accord, les frais sont partagés pour moitié pour chacune des parties.

          En cas de ressources insuffisantes, il est possible de demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de ces frais.

          Si les parties font appel à une association de médiation familiale conventionnée par la caisse d’allocations familiales, le montant est fixé par un barème qui varie selon les revenus de chacune des parties.

          À savoir

          Les médiateurs privés ne sont pas soumis à un barème national, l’entretien d’information est également payant.

        Le but de la «médiation judiciaire» est d’apaiser les tensions et de recréer un lien familial entre enfants, parents, grands-parents, héritiers…

        Le médiateur familial aide les parties en favorisant la reprise du dialogue afin qu’elles trouvent elles-mêmes un accord.

          La médiation familiale peut accompagner les parties et permettre de régler un conflit. Elle s’adresse notamment aux personnes suivantes :

          • Parent en situation de rupture, séparation, divorce

          • Grand-parent souhaitant garder des liens avec leurs petits-enfants

          • Personne souhaitant garder des liens avec les enfants de son ex-conjoint (époux, épouse, partenaire de  Pacs , concubin)

          • Jeune adulte en rupture de lien ou de communication avec sa famille

          • Héritier

          À noter

          la médiation ne peut commencer que si les parties sont présentes et donnent leur accord.

          La médiation familiale n’est pas possible si des violences ont été commises par l’un des parents sur l’autre parent ou sur l’enfant.

          À savoir

          Les parties sont dispensées de médiation familiale si elles demandent l’homologation d’une convention d’accord ou si elles ont un motif légitime (éloignement géographique, maladie…).

          Le médiateur familial est un professionnel qualifié (diplôme d’État).

          Il ne juge pas et n’a pas de pouvoir de décision.

          Il vous aide à trouver une solution au conflit, en respectant les principes de confidentialité, d’impartialité et de neutralité.

          À savoir

          Le principe de confidentialité ne s’applique pas en cas de motif impérieux (protection de l’enfant…) ou si la révélation de l’accord est nécessaire à sa mise en œuvre.

          Le juge peut décider d’une médiation familiale, même s’il n’a pas recueilli l’accord des parties. Il peut prendre cette décision à tout moment y compris en référé.

          Le juge désigne le médiateur, sa mission ainsi que sa durée, la provision à payer ou sa dispense en cas d’aide juridictionnelle. Le greffe de la juridiction notifie cette décision par lettre simple envoyée aux parties. Elle est également communiquée au médiateur désigné par le juge.

          La médiation familiale se déroule en 3 étapes :

        1. L’entretien d’information au cours duquel le médiateur familial présente, aux parties, les objectifs, le contenu et les thèmes à aborder.

        2. Les entretiens de médiation familiale d’une durée de 1h30 à 2 heures environ se déroulent sur une période ne dépassant pas 3 mois, renouvelable une fois pour 3 mois sur décision du juge. Leur nombre varie selon votre situation et les sujets que vous souhaitez aborder : résidence des enfants, contribution financière à leur entretien, droit de visite…

        3. À la fin de sa mission, le médiateur indique par écrit, au juge, le contenu de l’accord des parties. Le jour fixé, l’affaire revient devant le juge. Si l’accord est total ou partiel, le juge peut l’homologuer c’est-à-dire le valider. Il aura la même force exécutoire qu’un jugement.

        À savoir

        À tout moment, le juge peut mettre fin à la médiation sur demande d’une partie ou du médiateur familial, ou d’office s’il le décide.

          L’entretien d’information est gratuit.

          À l’expiration de sa mission, lorsque les frais de la médiation sont à la charge des parties, celles-ci déterminent librement entre elles leur répartition. L’accord peut être homologué par le juge.

          En cas de désaccord, ces frais sont répartis à parts égales, à moins que le juge décide qu’une telle répartition est inéquitable au regard de la situation économique des parties.

          Le juge ordonne, s’il y a lieu, le versement de sommes complémentaires après déduction de la provision déjà payée. Il désigne la ou les parties qui devront les payer.

          À savoir

          Si les parties sont bénéficiaires de l’aide juridictionnelle, la répartition des frais de la médiation se fait à parts égales. Les frais sont à la charge de l’État. Le juge peut si nécessaire, décider d’une autre répartition (inégalité économique).

        • Contact support Caf

          Accès à la  rubrique Aide  du site caf.fr

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        Qu’est-ce que la médiation familiale ?

        Vous avez un conflit familial (séparation, autorité parentale…) ou un conflit dans une succession ? La médiation familiale peut se faire, à votre demande, avec l’accord de toutes les parties au conflit. Elle peut aussi être décidée par le juge. Elle permet une communication pour trouver une solution amiable. Elle n’est pas possible si des violences ont été commises par l’un des parents sur l’autre parent ou sur l’enfant. Nous vous présentons les informations à connaître.

        Divorce, séparation de corps

        Les parties peuvent tenter une médiation familiale, avant de saisir le juge. Le but est d’apaiser les tensions et de recréer un lien familial entre enfants, parents, grands-parents, héritiers…

        Le médiateur familial aide les parties en favorisant la reprise du dialogue afin qu’elles trouvent elles-mêmes un accord.

        En cas de tentative de médiation, le délai de prescription pour éventuellement saisir le juge par la suite est suspendu. Cette suspension commence à compter du jour de votre accord écrit de faire une médiation. S’il n’y a pas d’écrit, à compter du jour de votre 1re réunion de médiation.

          La médiation familiale peut accompagner les parties et permettre de régler un conflit. Elle s’adresse notamment aux personnes suivantes :

          • Parent en situation de rupture, séparation, divorce

          • Grand-parent souhaitant garder des liens avec leurs petits-enfants

          • Personne souhaitant garder des liens avec les enfants de son ex-conjoint (époux, épouse, partenaire de  Pacs , concubin)

          • Jeune adulte en rupture de lien ou de communication avec sa famille

          • Héritier

          À noter

          la médiation ne peut commencer que si les parties sont présentes et donnent leur accord.

          Les parties ne peuvent pas demander la médiation familiale s’il existe un milieu familial violent. Elle n’est pas possible si des violences ont été commises par l’un des parents sur l’autre parent ou sur l’enfant.

          Le médiateur familial est un professionnel qualifié (diplôme d’État).

          Il ne juge pas et n’a pas de pouvoir de décision.

          Il vous aide à trouver une solution au conflit, en respectant les principes de confidentialité, d’impartialité et de neutralité.

          À savoir

          Le principe de confidentialité ne s’applique pas en cas de motif impérieux (protection de l’enfant…) ou si la révélation de l’accord est nécessaire à sa mise en œuvre.

          Le médiateur n’a pas de pouvoir d’enquête. Toutefois, il peut, avec l’accord des parties et pour les besoins de la médiation, entendre des personnes extérieures au conflit, par exemple, des voisins ou des amis qui sont d’accord.

          La mission du médiateur familial peut se pratiquer sous différentes formes :

          • Au sein d’associations nationales ou locales

          • Au sein de la CNAF

          • En tant que profession libérale avec un médiateur privé.

          Les parties doivent s’entendre sur le choix du médiateur familial.

          Les parties peuvent s’adresser à une association nationale de médiation familiale.

          Il est possible de contacter le tribunal judiciaire ou la cour d’appel pour obtenir la liste des médiateurs familiaux conventionnés.

          Où s’adresser ?

           Tribunal judiciaire 

          Où s’adresser ?

           Cour d’appel 

            Les parties peuvent s’adresser à une association familiale conventionnée auprès de la CNAF.

              Les parties peuvent s’adresser à un médiateur privé qualifié en matière familiale.

                La médiation familiale se déroule en 3 étapes :

              1. L’entretien d’information au cours duquel le médiateur familial vous présente les objectifs, le contenu et les thèmes que vous pouvez aborder. Vous pouvez accepter ou refuser de vous engager dans une médiation familiale. Cet entretien est sans engagement.

              2. Les entretiens de médiation familiale se déroulent de la manière suivante :

                • Durée de 1h30 à 2 heures environ, sur une période qui n’a pas de durée limite (elle peut être très courte ou longue, dépassant les 3 mois).

                • Le nombre d’entretiens est variable selon votre situation et les sujets que vous souhaitez aborder. Il est souvent limité à 6.

                • Vous êtes tous présents. Dans certaines situations, votre entretien peut avoir lieu à distance (détention, éloignement géographique…). Vos avocats peuvent assister à la médiation mais c’est le médiateur qui mène les entretiens.

              3. En cas d’accord, vous pouvez demander au juge de l’homologuer. Cet accord aura la même force exécutoire qu’un jugement.

              À noter

              Si vous ne trouvez pas d’accord à la fin de la médiation, vous pouvez saisir le juge compétent.

                L’entretien d’information est gratuit.

                Une somme est demandée aux parties, pour la suite. C’est le médiateur qui indique le montant qu’il fixe.

                Les parties peuvent décider comment sont partagés les frais. En l’absence d’accord, les frais sont partagés pour moitié pour chacune des parties.

                En cas de ressources insuffisantes, il est possible de demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de ces frais.

                Si les parties font appel à une association de médiation familiale conventionnée par la caisse d’allocations familiales, le montant est fixé par un barème qui varie selon les revenus de chacune des parties.

                À savoir

                Les médiateurs privés ne sont pas soumis à un barème national, l’entretien d’information est également payant.

              Le but de la «médiation judiciaire» est d’apaiser les tensions et de recréer un lien familial entre enfants, parents, grands-parents, héritiers…

              Le médiateur familial aide les parties en favorisant la reprise du dialogue afin qu’elles trouvent elles-mêmes un accord.

                La médiation familiale peut accompagner les parties et permettre de régler un conflit. Elle s’adresse notamment aux personnes suivantes :

                • Parent en situation de rupture, séparation, divorce

                • Grand-parent souhaitant garder des liens avec leurs petits-enfants

                • Personne souhaitant garder des liens avec les enfants de son ex-conjoint (époux, épouse, partenaire de  Pacs , concubin)

                • Jeune adulte en rupture de lien ou de communication avec sa famille

                • Héritier

                À noter

                la médiation ne peut commencer que si les parties sont présentes et donnent leur accord.

                La médiation familiale n’est pas possible si des violences ont été commises par l’un des parents sur l’autre parent ou sur l’enfant.

                À savoir

                Les parties sont dispensées de médiation familiale si elles demandent l’homologation d’une convention d’accord ou si elles ont un motif légitime (éloignement géographique, maladie…).

                Le médiateur familial est un professionnel qualifié (diplôme d’État).

                Il ne juge pas et n’a pas de pouvoir de décision.

                Il vous aide à trouver une solution au conflit, en respectant les principes de confidentialité, d’impartialité et de neutralité.

                À savoir

                Le principe de confidentialité ne s’applique pas en cas de motif impérieux (protection de l’enfant…) ou si la révélation de l’accord est nécessaire à sa mise en œuvre.

                Le juge peut décider d’une médiation familiale, même s’il n’a pas recueilli l’accord des parties. Il peut prendre cette décision à tout moment y compris en référé.

                Le juge désigne le médiateur, sa mission ainsi que sa durée, la provision à payer ou sa dispense en cas d’aide juridictionnelle. Le greffe de la juridiction notifie cette décision par lettre simple envoyée aux parties. Elle est également communiquée au médiateur désigné par le juge.

                La médiation familiale se déroule en 3 étapes :

              1. L’entretien d’information au cours duquel le médiateur familial présente, aux parties, les objectifs, le contenu et les thèmes à aborder.

              2. Les entretiens de médiation familiale d’une durée de 1h30 à 2 heures environ se déroulent sur une période ne dépassant pas 3 mois, renouvelable une fois pour 3 mois sur décision du juge. Leur nombre varie selon votre situation et les sujets que vous souhaitez aborder : résidence des enfants, contribution financière à leur entretien, droit de visite…

              3. À la fin de sa mission, le médiateur indique par écrit, au juge, le contenu de l’accord des parties. Le jour fixé, l’affaire revient devant le juge. Si l’accord est total ou partiel, le juge peut l’homologuer c’est-à-dire le valider. Il aura la même force exécutoire qu’un jugement.

              À savoir

              À tout moment, le juge peut mettre fin à la médiation sur demande d’une partie ou du médiateur familial, ou d’office s’il le décide.

                L’entretien d’information est gratuit.

                À l’expiration de sa mission, lorsque les frais de la médiation sont à la charge des parties, celles-ci déterminent librement entre elles leur répartition. L’accord peut être homologué par le juge.

                En cas de désaccord, ces frais sont répartis à parts égales, à moins que le juge décide qu’une telle répartition est inéquitable au regard de la situation économique des parties.

                Le juge ordonne, s’il y a lieu, le versement de sommes complémentaires après déduction de la provision déjà payée. Il désigne la ou les parties qui devront les payer.

                À savoir

                Si les parties sont bénéficiaires de l’aide juridictionnelle, la répartition des frais de la médiation se fait à parts égales. Les frais sont à la charge de l’État. Le juge peut si nécessaire, décider d’une autre répartition (inégalité économique).

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              Lutte contre  l’habitat indigne :

              Vous êtes occupants d’un logement présentant des signes de non décence, de risque pour la santé ou la sécurité : comment agir ?

              Vous avez la possibilité de saisir le service Habitat OU d’effectuer les démarches auprès de la Préfecture -DDTM :

              SOIT PAR COURRIER

              Préfecture du Var

              Direction Départementale des Territoires et de la Mer du Var (DDTM)

              Service Habitat Rénovation Urbaine – Pôle Départementale de Lutte contre l’Habitat Indigne du Var

              Boulevard du 112ème Régiment d’Infanterie

              CS 31209

              83070 TOULON Cedex

              SOIT PAR COURRIEL   : ddtm-pdlhi@var.gouv.fr

              Liens utiles pour vos démarches  : https://www.var.gouv.fr/Demarches/Signaler-un-habitat-indigne

              Autres liens utiles :